MARC. 6,1-6

Et si grande est l’importance et si lourd le sens de la Parole de ce jour, que chaque évangéliste, à sa manière, nous la rapporte, Jean la résumant ainsi :

« Il est venu chez les siens et les siens ne l’ont pas reçu. » Jn 1Ici pèse tout le poids d’humanité, d’humilité, d’abaissement du Dieu fait homme en Jésus-Christ. Si lourd, si lourd d’Amour, qu’il s’est enfoui dans les entrailles de notre terre et qu’il faut y descendre avec lui afin d’en remonter dans la foi au Dieu caché dans la chair :

« Sagesse et Actes de Puissance advenant par ses mains ». (V. 2)

Voilà l’inconcevable, le scandaleux !
Voilà « la pierre qui fait tomber », mais que le « Dieu de l’impossible » roulera au matin de Pâques libérant Celui que notre incrédulité avait mis au tombeau.
Cet Évangile désigne le « pas encore » et les lenteurs de notre chemin de foi. « Lents à croire tout ce qu’ont annoncé les prophètes… ». Lc 24.
Nous nous retrouvons si bien dans « l’étonnement » des « siens », (V.2) cette incapacité à reconnaître en la banalité de notre quotidien, l’ordinaire de nos relations et les événements du monde, le « Dieu caché dans la nuée » de notre propre chair.
Seul ses bras étendus sur le bois croisé, offrent « l’étonnement » du « croire » en ce Dieu là, et c’est un païen qui en ouvre aux « siens » la porte.

Et si nous demandions à Jésus d’entrer dans son propre « étonnement de notre manque de foi » !? (V.6) Si nous écoutions et regardions davantage hors de nos frontières, pour entendre « la Sagesse » de sa Parole et reconnaître ses « actes de puissance » là où on s’y attendrait le moins, et de la part de ceux qui « ne sont pas des nôtres » et « ne suivent pas le Christ avec nous »… !? (Lc 9,49-50)

Marc. 6,1-6

Et si grande est l’importance et si lourd le sens de la Parole de ce jour, que chaque évangéliste, à sa manière, nous la rapporte, Jean la résumant ainsi :

« Il est venu chez les siens et les siens ne l’ont pas reçu. » Jn 1

Ici pèse tout le poids d’humanité, d’humilité, d’abaissement du Dieu fait homme en Jésus-Christ. Si lourd, si lourd d’Amour, qu’il s’est enfoui dans les entrailles de notre terre et qu’il faut y descendre avec lui afin d’en remonter dans la foi au Dieu caché dans la chair :

« Sagesse et Actes de Puissance advenant par ses mains ». (V. 2)

Voilà l’inconcevable, le scandaleux !
Voilà « la pierre qui fait tomber », mais que le « Dieu de l’impossible » roulera au matin de Pâques libérant Celui que notre incrédulité avait mis au tombeau.
Cet Évangile désigne le « pas encore » et les lenteurs de notre chemin de foi. « Lents à croire tout ce qu’ont annoncé les prophètes… ». Lc 24.
Nous nous retrouvons si bien dans « l’étonnement » des « siens », (V.2) cette incapacité à reconnaître en la banalité de notre quotidien, l’ordinaire de nos relations et les événements du monde, le « Dieu caché dans la nuée » de notre propre chair.
Seul ses bras étendus sur le bois croisé, offrent « l’étonnement » du « croire » en ce Dieu là, et c’est un païen qui en ouvre aux « siens » la porte.

Et si nous demandions à Jésus d’entrer dans son propre « étonnement de notre manque de foi » !? (V.6) Si nous écoutions et regardions davantage hors de nos frontières, pour entendre « la Sagesse » de sa Parole et reconnaître ses « actes de puissance » là où on s’y attendrait le moins, et de la part de ceux qui « ne sont pas des nôtres » et « ne suivent pas le Christ avec nous »… !? (Lc 9,49-50)

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