Marc 4, 21-25

JE SUIS LA LUMIÈRE DU MONDE
Par la parabole du lampadaire qui est conçu pour éclairer, Jésus nous appelle au discernement et à distinguer le visible de l’invisible, le temporel de l’éternel, le silence de la proclamation, le secret de la manifestation.
Il est lui-même cette Lumière venue au monde et dressée sur une croix pour que la gloire de la résurrection pénètre le cœur de chaque créature et rayonne sur le monde entier. Descendu, après sa passion, dans l’obscurité du tombeau et la ténèbre des enfers, il prend sur lui toute mort et vient habiter chaque parcelle des désespoirs ou des iniquités humaines. Il est élevé à la droite du Père d’où il donne sans mesure l’Esprit Saint pour que sa vie continue de souffler, d’inspirer et d’éclairer les enfants de Dieu, les disciples, les prophètes et les saints que nous sommes (… en devenir!).
En Jésus, Lumière et Résurrection, Chemin et Vie, la Vérité prend chair en une personne qui donne sens à chacune de nos existences et qui nous rend libres et vainqueurs de la mort et du mal en nous transformant en enfants de lumière.
En Jésus, brille et étincelle la Parole de Dieu, pour nous sauver, pour continuer de sauver tous les hommes. L’évangile de ce jour nous appelle à une écoute profonde qui est reconnaissance de sa manifestation. « La lampe vient-elle pour être mise sous le boisseau ou sous le lit ? » (v.21).
Chrétiens, réveillez-vous
Veilleurs, réjouissez-vous
L’Aurore s’est levée
Le Fils a triomphé
Oh! non, ne vous laissez pas voler votre Joie !
(À écouter pour continuer cette méditation « Il n’y a pas de petite joie » de Theoû Xàrisma

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