Tu sonnes toujours comme s’il n’y avait personne. Ta singularité je te la donne ; seul, tu n’en as aucune. Toujours indifférent, impassible, imperturbable ! Que la nouvelle soit triste, ou qu’elle soit bonne. Même rechargé, tu sembles mort ! Si les mots te traversent, s’ils touchent, ils ne donnent pas, ils ne donnent rien, et ne rendent présent…